• Après mes outils (plus jolis ?) pour la classe, je décide de publier mes outils pour la maitresse (oui, ou pour le maitre... wink2)

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  • Voilà quelques babioles pour rendre ta classe plus sympa (enfin, à mon gout... ! peut-être aussi au tien ?)

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  • Qui qui sait la réponse ?

    Pas mes élèves, en tout cas happy (ça fait 56 !)

    7 x 8, c'est LA bête noire de tout un chacun... Allez, avouez.

     

    Pour toutes les autres tables, il y a, je trouve, une astuce.

    La preuve :

    La table de zéro, ça fait toujours... 0. Fastoche.

    La table de un, ça fait toujours... le nombre en lui même.

    La table de deux, c'est le double du nombre, ça reste pas trop compliqué...

    Les tables de trois et quatre, à savoir par coeur, mais les nombres restent pas trop difficiles...

    La table de cinq, ça se termine toujours pas 0 ou 5. Ca limite un peu...

    La table de six, ah ah, ça se complique là, on fanfaronne moins, hein ? Il faut l'apprendre... et la mémoriser...

    Les tables de sept et huit, alors là, on tombe dans le désarroi le plus total... Hormis les apprendre par coeur (mais elles sont croooo dures à retenir !), je vois pas ce que je peux faire pour mes élèves...

    Et la table de neuf... oh miracle... Mes élèves m'ont appris (oui oui, ça marche dans les deux sens chez nous happy ), le méga-truc-de-la-mort-qui-tue ! On peut utiliser nos... MAINS ! Super rapide en plus...

    Tu mets tes deux mains ouvertes devant toi. Tu as 9 x 8 à trouver le plus rapidement possible.

    En partant de la GAUCHE tu comptes 8 doigts. Tu abaisses ce 8ème doigt.

    Et tu comptes combien tu as de doigts avant ce 8ème doigt (ce seront les dizaines), puis le nombres de doigts après (ce seront les unités).

    7 X 8

    Source image : http://villemin.gerard.free.fr/Calcul/Operatio/Table.htm

    LE TOUR EST JOUE !

    Si tu as d'autres astuces pour aider mes élèves à les mémoriser... je prends ! ^^


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  • Il parait que l'on apprend de nos erreurs. Je suis convaincue.

    La dernière fois, j'ai laissé son doudou à ma fille dans les toilettes d'Ikéa. Elle l'a jeté par terre.

    Conclusion : Je ne laisserai plus jamais son doudou à ma fille dans les toilettes d'Ikéa. Mon erreur aura finalement été utile.

     

    Bref, bref, tout ça pour dire que nos élèves, et ben, c'est comme moi en tant que maman... Ils apprennent de leurs erreurs. Et donc de nos corrections, puisque ce sont elles qui les guident, à mon sens.

    Mon questionnement est donc basé aujourd'hui sur la correction.

    Comment corriger nos élèves ?

    Il y avait déjà le débat de la couleur, , mais il y a aussi la question du comment ?

    Comment être efficace dans sa correction, comment rendre la correction UTILE (ce qui la rendra donc pour le coup EFFICACE..), comment faire pour que la correction ne soit pas le moment où tout le monde se fait ***** ?

    Pour ma part, j'ai opté, vu mon faible effectif, pour la correction au bureau.

    Mes élèves, plutôt hétérogènes tant dans la rapidité d'exécution que dans leurs compétences, sont 15. Donc lorsque je lance un groupe sur des exercices, d'autres sur une leçon, et d'autres sur je-n-sais-quoi, ils finissent toujours en décalé et du coup j'ai le temps de corriger au bureau.

    Pour moi, je n'y vois que des avantages (enfin presque, j't'expliqu'rai !) :

    - l'élève voit directement son erreur puisque je la pointe sous son nez

    - je les fais se corriger un maximum de suite (et généralement ils savent la réponse...)

    - il y a la "pression" du "bien faire" puisque la maitresse est LA, elle corrige et l'élève est LA aussi... Le cahier rendu et corrigé plus tard, l'élève n'est plus là, donc la maitresse ne risque pas de le "gronder" (elle aura oublié, la vieille maitresse ! )...

    Le seul inconvénient, c'est que des fois, c'est un peu le salon de thé au bureau. Chacun vient, avec son cahier, s'accoude à la table d'outils et papote avec son voisin de file. Et blablabi et blablabla. Un peu gênant pour être concentrée au bureau !

    M'enfin. Je trouve que c'est un moindre mal, et j'essaie d'utiliser des trucs pour éviter le salon de thé. En tous cas, ça me correspond bien.

     

    A ton tour, lecteur de me faire partager ton expérience ! ^^


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  •  J’envoie un mail à mon corres’ !

    Eh oui, c’est ce que font mes élèves… pas assez souvent à mon goût, mais : « on n’a pas que ça à faire » !

     

    Cela fait deux ans que nous avons plaisir à avoir, dans une autre classe, des correspondants.

    L’année dernière, c’était avec les CM1-CM2 d’une autre commune du département. J’avais gardé contact avec la collègue dont je faisais le complément l’année précédente et qui avait trouvé l’idée attractive. Malheureusement, le temps de monter le projet, de faire créer une boite de réception pour chaque classe etc, il n’y a pas eu beaucoup d’échanges mailistiques.

    On a quand même organisé également deux journées ensemble : une dans chaque école.

     

    Cette année, nous sommes deux classes de mon école à correspondre avec deux classes de sixième du collège de notre secteur. Idem : qu’un petit nombre de contacts car la mise en route est rude.

    Et là, l’inconvénient : certains collégiens étaient l’an dernier dans la même classe que mes élèves actuels. Donc inutile de faire connaissance smiley. Et la cerise sur le gâteau : ils se voient le mercredi au foot ; donc à quoi bon s’envoyer des nouvelles le lendemain ?

     

    Alors, pour 2015-2016 : quel projet ?

    Je cogite.

     


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  • Grand questionnement en ce samedi soir.

    Les vacances se terminent, il va falloir y retourner mais mon esprit divague déjà à la rentrée 2015.

    Ma grande question du soir : QUELLES TRACE ECRITES pour mes élèves ?

     

    Je t'explique. Cette année, j'avais un cahier, où les élèves collaient les leçons français / maths. Mais je ne suis pas convaincue. Et ils ne l'utilisent pas.

    Ces mêmes élèves, qui avaient donc une autre maicresse l'année dernière utilise par contre (pour certains...) un livret de références, avec les tables, ...

    Donc... que faire l'année prochaine ?

    Je me tâte. Surtout que je ne fais pas toujours de leçon pour chaque notion... Du coup, un livret avec toutes les "références" parait le plus simple... Non ?

    Tu fais comment toi ?

     

    J'édite, pour répondre à superV :

    1. Pour moi oui, c'est le minitexte qui sert de leçon à apprendre à la maison. Pour ne pas oublier. je leur dis régulièrement que je m'en moque qu'ils le sachent par coeur bêtement. Je veux qu'ils sachent utiliser ce qu'ils savent. Mais... rien de concluant...

    2. Des fois je suis "génée" qu'il n'y ai pas plus de "traces" justement... Mais en même temps je trouve que certaines leçons ne servent à rien... Bref, en gros j'ai envie de faire un MEMO plutôt qu'un cahier de leçons... (merci, mon idée avance !! ;-) )

    3. J'aimerais parfois qu'ils l'utilisent en classe comme d'un mémo, en support de leur mémoire. Mais très peu y pensent ou n'ont le "courage"...


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  • Hey hey, ça faisait bien longtemps, chers amis et collègues, que je n'avais point écrit...

    Voilà chose faite, et me revoilà en selle pour la dernière ligne droite...

    Ben oui, je reprends lundi,  finies les vacances pour moi !

     

    Je vais donc me pencher sur.... *roulement de tambour* ma commande !!!

    Tu sais, on l'a déjà dit ici, la commande c'est un peu la lettre au Père Noel quoi...

    Alors en avril ne te découvre pas d'un fil, réfléchis à ta commande pour commander des outils et des affaires EFFICACES pour toi, pour tes élèves.

    On a déjà partagé notre top 3 des commandes méga utiles et des commandes méga pourrites (quoi, pourrites, ça n'existe pas ??), et bien maintenant je vais partager avec toi ma liste de matériel.

     

    Du coté des manuels :

    • Interlignes en français. Tout ne me plait pas tel quel mais j'avoue que je ne penche pas trop sur la question. Je fais le mouton...
    • Pas de manuel en maths... Je fais comme je le sens, un peu en freeestyle (t'as vu comme je cause bien l'english ?). J'ai commandé trois fichiers photocopiables chez Jocatop pour les maths. Mais je ne suis pas convaincue maintenant. Flûte.

     

    Du côté des "consommables" :

    • Cahier d'activités, le traditionnel cahier du jour. J'ai essayé tous les formats grâce à mes postes de compléments (décharge, si tu préfères...). Et je ne l'aurais jamais cru mais celui que je préfère c'est le A5, 17 x 22, avec couverture prolypro (rose), évidemment.

    Il regroupe toutes les... activités des élèves, en maths et en français. Les feuilles A4 iront dans le classeur.

    • Cahier de liaison, 17 x 22 avec couverture polypro rouge.
    • Classeur 12 intercalaires, pour les fiches de français, maths, dictée, sciences, histoire, géo, ICM, autonomie, les plans de travail, anglais, littérature/rédaction, divers (les inclassables).
    • Cahier de poésie basique, une page de lignes, une page blanche pour le dessin, qui va peut être devenir un cahier d'arts (et regroupera donc les chants, et l'HDA)
    • Cahier d'écrivain, pour les divers écrits, avant de publier sur le blog. 17 x 22 couverture violette.

     

    Mon dernier grand dilemme, c'est les "leçons". Plusieurs options :

    - fabriquer un livret d'outils avec les leçons d'interlignes, pré-photocopiées (français) + un en maths

    - faire comme cette année : photocop collées dans un cahier

    - faire tout écrire dans un cahier

    ...

     

    Voilà pour mon fonctionnement...

    Peux tu m'aider cher collègue ?


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  • Eh bien figure-toi que (si ça peut te rassurer) ça ne va pas de soi pour le jeune (ou pas tant que ça) PE (lire Padawan Enseignant) que tu es.

    Pourquoi ? Eh bien parce que la formation que tu as eu (que j'ai eu) prévoyait de travailler en groupe classe et rarement autrement. 

    Alors, le début du secret, c'est donc de changer ses habitudes, son organisation de classe. Elles passent notamment par l'idée de travailler en ateliers, comme à l'école maternelle finalement où cette pratique est très naturelle.

     

    A partir du moment où tu réussiras à travailler en ateliers (dans n'importe quelle matière et n'importe quel moment de la journée) alors, le numérique n'aura plus de secret pour toi!

     

    Evidemment, ce n'est pas le cas à chaque fois : l'intégration du videoprojecteur par exemple ne nécessite pas une organisation en ateliers. En effet, c'est souvent une organisation en groupe classe. 

    Et là tu vas me dire :"oui mais le videoprojecteur, c'est davantage le PE qui l'utilise que l'élève".

    Et alors? Et puis d'ailleurs, non, pas forcément : à partir du moment ou tu utilises une souris et un clavier sans fil que tu imagines se balader dans la classe auprès de tes élèves, alors, là les rôles sont inversés et l'élève est enfin acteur. A toi de proposer alors des activités motivantes, attrayantes adaptées à tes élèves.

    Ensuite, pour ce qui est du travail en ateliers, il faut imaginer comme à la maternelle, des ateliers tournant sur la semaine.

    Exemple d'organisation testé : 24 élèves de cm1-cm2

    En rituels / ateliers : une trentaine de minutes pour chaque rituel / atelier

    • calcul mental en autonomie (ceintures) ou dirigé
    • lecture implicite (atelier numérique)
    • rédaction

    Organisation : 4 groupes de 6

    • le lundi : G1:calcul mental / G2:lecture implicite (logiciel T@cit)  / G3 et G4 : rédaction 
    • le mardi : G1 : T@cit / G2: calcul mental / G3 et G4 : rédaction 
    • le jeudi :G1 et G2 : rédaction / G3:calcul mental / G4: T@cit
    • le vendredi : G1 et G2 : rédaction / G3 : T@cit / G4 : calcul mental

    Quelque soit le nombre d'ordinateurs présents dans la classe, l'atelier "T@cit" se fait en autonomie. La durée est limitée. Dès qu'un élève a terminé, il laisse sa place à un camarade du même groupe. Il peut alors en autonomie intégrer l'atelier "calcul mental". 

    Par cette organisation, tous les élèves de la classe passent à tous les ateliers sur une semaine. 

    • Il est nécessaire de prévoir une activité numérique cadrée, limitée dans le temps, où chacun va à son rythme mais où le travail n'est pas trop long (même pour les élèves les plus lents)
    • Il est nécessaire de choisir une activité numérique où tu as la possibilité de voir le travail de l'élève, ce qu'il a compris, ce qu'il n'a pas réussi...après coup!
    • Si c'est un rituel, le temps d'allumer les ordis, de saisir les codes de connexion si besoin, d'aller sur le bon site... est de plus en plus limité et devient au bout de quelques semaines insignifiant...

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  •  

    Droit de réserve, mais cékoidon ?

     Bonjour les collègues !

     

     Je me pose des questions sur cette fameuse expression qui me freine parfois : le droit de réserve.

     

    De par mon métier de professeur des écoles, ai-je le droit par exemple (vis-à-vis de ma hiérarchie notamment) de :

     

    •     Signer une pétition contre la fermeture de classe dans la commune dans laquelle j’habite ?
    •     Dire ce que je pense de la mise en place de la réforme des rythmes scolaires ?

     Au quotidien, comment faites-vous ?

     

    Vous aquiécez acquiécez acquiescez sans piper mot ?

    Vous savez mais ne respectez pas ?

    Vous vous contre-fichez de ce « droit de réserve » ?

     

    J’attends vos anecdotes à ce sujet, si le cœur vous en dit.

    Bonnes vacances à celles et ceux qui ont le bonheur de les savourer d’ores et déjà yes

     

     


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  • Jusque là, on vous avait fait partager notre expérience "Twictée" mais en local c'est-à-dire en simulation : sans twitter ! Oui mais l'expérience ne serait pas complète si je ne vous parlais pas de la vraie twictée sur le réseau social Twitter.

    Le principe / le dispositif :

    • des centaines de classes motivées par l'expérience/l'expérimentation, de France et d'ailleurs (pays francophones, quoi!)
    • 1 compte-twitter (obligé !)
    • des supertwittos qui chapautent le dispositif
    • 3 classes qui travaillent ensemble par session : notre classe / 1 classe scribe / 1 classe miroir

    La twictée, la vraie !

     

    • 1 dictée d'environ 140 caractères inventée par la communauté Twictonautes sur un mode collaboratif (tout le monde met la main à la pâte) selon la "team" choisie (TeamCM / teamCE2 / teamCM26 /...)
    • 1 calendrier commun partagé en 4 phases à une Team

    La twictée, la vraie !

     

    Phase 1 :

    On dicte la twictée individuellement de façon traditionnelle à chaque élève. (on ne corrige pas tout de suite la twictée)

    On place nos élèves par groupe et on leur demande par rapport à leur jet individuel de négocier entre eux pour élaborer une twictée par groupe (8 groupes en général dans la classe)

    On découvre nos partenaires pour cette twictée (super enrichissant au niveau géographique)

    Le maitre envoie grâce à un cloud (souvent, un GoogleDoc déjà tout préparé par un des twictonautes) les 8 twictées de groupe qu'il aura tapées.

    Phase 2 :

    On récupère les 8 twictées de groupe de notre classe-scribe partenaire

    On les répartit dans les groupes

    Dans chaque groupe, les élèves tentent de repérer les fautes commises par leur camarade et rédigent sous forme de twoutils des aides à la correction

    La twictée, la vraie !

    Après chaque twoutil rédigé par un groupe, le maitre valide ou pas.

    Le groupe ayant l'accord/la validation du maitre écrit un tweet en se connectant sur Twitter en se servant de l'outil numérique (ordinateurs ou tablettes)

    Avant de tweeter, le maitre veille à ne laisser aucune faute.

    Phase 3 :

    La classe va sur son compte Twitter pour lire les tweets rédigés par sa classe-miroir. 

    A partir de ceux-là, en groupe puis individuellement, les élèves corrigent leur twictée de groupe puis leur twictée individuelle.

    Phase 4 : 

    Les élèves font à nouveau la dictée ou une dictée similaire pour voir ce qu'il en reste. #objectif0faute à atteindre !

     

    La phase la plus importante à mon sens est la phase 2, celle où les élèves jouent le rôle du maitre, à savoir repérer les fautes et être capable de justifier ses choix orthographiques. Aucun droit à l'erreur pour la rédaction des twoutils !

     

    Pour rejoindre le dispositif, il faut ouvrir un compte Twitter et vous abonner à @Twictéeofficiel : Super équipe de qualité et de professionnalisme / On n'est jamais seul / Toujours un pour nous aider lorsqu'on patauge un peu dans cette nouvelle façon d'aborder l'orthographe / De vrais échanges riches !

    La twictée, la vraie ! La twictée, la vraie ! La twictée, la vraie !


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  • Je viens te parler après quelques mois de recul sur le sujet du très bon logiciel en ligne "T@CIT".

    Je t'informe déjà que ce logiciel est payant (bah oui, il en faut) mai pour une fois je ne rechigne pas à sortir les sous (qui ne sont pas les miens d'ailleurs) parce celui-ci est de qualité : 36€ par classe _ syouplé ma ptite dame_

    Alors, oui, je plante le décor mais C'EST QUOI, T@cit ????

    Si tu as envie de faire progresser tes élèves en lecture implicite, en autonomie, en ayant la main sur ce qu'ils savent faire, ce qu'ils font et ce qu'ils feront (je t'aimais, je t'aime et je t'aimerais).

    Si tu veux faire  un bilan avec eux à des moments stratégiques avec un retour sur leurs erreurs et/ou leur "niveau",

    Si tu veux différencier ce que tu leur proposeras parce que certains n'avancent pas au même rythme que d'autres et n'ont pas le même niveau

    Si tu veux les motiver et faire de leur erreur une force...

    Ce logiciel est fait pour toi.

    Je te propose ici de découvrir comment moi, je m'en sers...

    1ère étape (je te passe l'étape de la configuration de ta classe) : Faire passer en début d'année une évaluation diagnostique (20 questions type QCM)

    T@cit ? C'est de l'implicite !

    Selon les résultats, chaque élève sera placé (de façon automatique au vu de leur résultat) dans un niveau allant de A à J (A étant le plus facile), avec possibilité de modifier les propositions.

    Pour chacun de vos niveaux de classe est proposé un niveau moyen (calculé d'après une moyenne de plusieurs écoles de France). Ca te donne une base.

    Exemple avec des CM1, on attend un niveau E et des CM2, on attend un niveau F :

    T@cit ? C'est de l'implicite !         T@cit ? C'est de l'implicite !

    Etapes suivantes : les élèves font en autonomie des entrainements adaptés à leur niveau(un chaque semaine pour ma part mais tu fais ce que tu veux)). Toi, tu as un suivi de leur résultat et tu peux ajuster pour chacun l'aide que tu leur apportes en proposant par exemple de mettre en couleur les mots-clés, de poser une question  intermédiaire pour une meilleure compréhension, ...).

    Régulièrement,  tu relèves avec eux en collectif (grâce au vidéoprojecteur, par exemple) les questions qui ont posées problème (puisque toi, tu as la possibilité de le voir) et tu partages avec eux les stratégies, les astuces, les indices qui permettent de réussir. C'est le moment de collaborer.

    3ème étape : A la fin de la période (par exemple) , tu leur fais passer une évaluation qui les situe à nouveau. (20 QCM)

    Tu projettes au Vidéoprojecteur le tableau bilan et tu discutes avec eux de ce qui va se passer à la prochaine période... "Ai-je progresser par rapport à la foi dernière ?Vais-je changer de niveau ? Pourrais-je me passer d'indices ?

    T@cit ? C'est de l'implicite !

    En rouge : les 3 évaluations / En vert les entrainements (avec une flèche qui montre l'évolution)

    Par exemple, au vu du tableau-bilan, je propose à l'élève 1 qui étaient au niveau G de passer au niveau H pour la motiver et aller encore plus loin. je propose à l'élève 2 qui était au niveau D d'y rester pour la période suivante, je propose à l'élève 3 qui était au niveau F de rester à ce niveau (je ne veux pas le "déclasser" mais je peux lui proposer de l'aide en surlignant quelques mots-indices...

     Franchement, investis ! Ca vaut le coup !

     

     

     

     


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  • Aller, nouvelle année, nouvel article !

    Bonne année 2015 à tous nos lecteurs !  Que celle-ci vous comble à tous points de vue !

     

    De mon côté, je n'ai plus le temps de m'épancher sur le blog. Ni d'y mettre des ressources. Ni d'y papoter. Mon triple niveau (et le papotage du midi avec mes collègues) me prennent trop de temps...

    Il a fallu s'organiser et maintenant ça roule bien, mais ça reste bien chronophage !

     

    Bref, soyons brefs, soyons clairs.

    Aujourd'hui je venais vous parler de la TWICTEE.

    Quel est ce mot étrange ?

    Cela vient de DICTEE (trop fastoche !) et de TWITTER.

    Avec SuperV, on a tenté une nouvelle expérience.

    Nos élèves "subissent" une dictée basique assez courte et les élèves de la classe "d'en face" les corrigent avec l'aide de TWOUTILS. Avec cette correction (plus une aide qu'une correction d'ailleurs...), les élèves qui ont subi subissent encore et doivent corriger la dictée pour le rendre sans erreurs.

    Les élèves sont assez motivés et si toi aussi, lecteur, lectrice, ça t'intéresse pour ta classe, n'hésite pas à venir jeter un coup d'oeil sur notre blog d'écriture.


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  • Vous devez vous dire que les Super désertent. Que ce sont des lâcheuses. Bouh, les vilaines.

    Ben vouais mais les Super elles ne sont plus en vacances (d'été) et du coup elles ont (beaucoup) moins le temps de papoter, partager, fournir le blog...

    Parce qu'elles ont une inspection à préparer, un triple niveau à gérer, un emploi du temps de ministre à caler ^^

    Mais vous z'inquiétez pas...

    Elles reviendront surement un jour...

    Et vous serez les premiers informés.

    Promis. Juré. crchaidhzudhsh (craché)


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  •  Comment avoir des sous ? 

    En ce premier jour de vacances, j’ai des envies de fraises balades. yes

    Mais comme je n’ai pas encore coupé avec la classe vais-je le faire ?, je pense aux sorties que je pourrais proposer à mes élèves.

    Vient alors la condition sine qua none : il faut le pognon nécessaire !

     

    Pas à me plaindre, personnellement : l’association de parents d’élèves de la commune dans laquelle je bosse fait à l’école un joli chèque couvrant bien souvent une sortie digne de ce nom par classe.

    A côté de ce don, on renfloue les caisses de la coop par la vente de :

    • calendriers à l’effigie des petites têtes blondes,
    • photos de nos écoliers placés en rangs d’oignons, accompagnés de leur maicresse
    • tickets de tombola (lots offerts par les commerçants et artisans du village ou achetés par nos soins)

    Le photographe nous permet aussi un bénéfice grâce à des clichés de Bidule seul, Machin avec son frère, Trucmuche avec ses sœurs, Untel avec son cousin… vendus à la pochette, sur des magnets, des porte-clés, des marque-pages etc. Cependant, je trouve que c’est journée sans cartable du coup : toujours un loustic qui manque à l’appel, parti avec l’E.V.S faire son plus beau « Cheese ». Grr. L’an prochain, c’est décidé, je boycotte.

    Et comme Super-V et/ou Super-M m’ont qualifiée de pro du projet de classe, j’ose vous demander :

    Vous, vous faites comment  pour récupérer des pépettes ?

     

    En passant, bonnes vacances à toutes et tous. 


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  • Relire une dictée ? C'est trop facile, ça ?

    Pas tant que ça, en fait... (mais ça, toi, tu le sais déjà).

    Et mes élèves l'ont bien compris au moment d'élaborer cette carte mentale qui synthétise les étapes à respecter une fois le texte dicté, pour se corriger.

    L'avantage de la carte numérique, c'est qu'elle pourra être complétée au fur et à mesure de notre avancée dans les apprentissages.

    Comment relire sa dictée ?

    Et là, je les questionne :

    "Vous en pensez quoi alors de cette carte mentale ?

    - C'est génial d'avoir des étapes, comme ça.

    - Ca va être plus simple !!"

     

    Que c'est bon d'avoir des élèves TROP enthousiastes comme ça. Tu aurais du les voir...

    Reste plus qu'à voir si, une fois dans le sous-main, disponible à chaque dictée, elle leur servira VRAIMENT !


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  • Il est court mais pour cet article, non besoin de blabla :

    Voici ma carte mentale que j'ai fait coller dans le cahier de poésie des enfants, qui leur permettra de savoir ce sur quoi ils sont évalués. Je l'ai faite seule grâce au bilan qu'ils ont fait, eux, de mes exigences / attentes après notre première poésie.

    C'est un exemple, bien entendu :

    Une carte mentale en guise de grille d'évaluation


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  •  

    Le psy de mon enfant va mieux

     

     Bon, OK, je me suis inspirée d’un titre de spectacle vulgaire humoristique…

    Ce petit article pour exprimer mes difficultés à convaincre des parents d’élèves de mon ressenti : il aurait peut-être besoin de consulter un psychologue (scolaire ou pas).

    Car deux possibilités :

    •       Papa et Maman de Bidule sont conscients des problèmes (c’est déjà bien !) et là : 

    o   Ils n’attendaient plus que le rendez-vous avec l’enseignant(e) pour confirmer qu’il est l’heure de franchir le pas.

    ou

    o   Ils ne pensent pas que voir un médecin des fous (si si, c’est ainsi qu’ils l’appellent) va changer la donne.

    •      Maman et Papa de Trucmuche se voilent la face ou tombent de haut et c’est alors que le rôle du P.E. n’est pas facile : M. et Mme Machin sont-ils prêts à entendre le mot « psychologue » ?

    Faut-il le tenter (ce terme) ? Et selon la réaction desdits parents : « ou voir déjà avec votre médecin… » ?

     

    Pourquoi cette réticence à prendre son téléphone pour appeler un psy ?

    Pourquoi est-ce si tabou de dire « je consulte un psy » ?

    Est-ce une honte de se faire aider par un professionnel de ce qu’il y a entre nos deux oreilles (s’il y a quelque chose) ?

    Est-ce le signe que l’on ne sait pas s’y prendre avec son enfant ?

    Craint-on que l’on aille trop fouiner dans notre intimité ?

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Cela fait longtemps que je me pose cette question.

    Enfant, j'ai toujours eu de bonnes relations avec mes institutrices (jamais d'instituteur...). Arrivée au collège, ce fut une autre histoire. J'avais surnommé une de mes profs de français "La morue". Je la détestais car son passe-temps favori consistait à humilier les élèves. Bien sûr, elle avait aussi ses "chouchous". Une autre, prof d'anglais, a fini par me provoquer des crises de hoquet à chaque fois que j'allais dans sa classe.

    J'en parlais aujourd'hui à ma mère, qui me disait n'avoir eu aucun soucis en primaire, mais qu'à partir du collège, elle a trouvé que les adultes parlaient très mal aux élèves, leur manquant souvent de respect. Elle s'indigne alors, me disant qu'on ne peut exiger le respect quand on ne l'applique pas à soi-même.

    Aujourd'hui donc, c'est à un salon littéraire que j'ai rencontré un scénariste-dessinateur de BD, Augustin. Dans ses BD, "Chienne de vie" (pour adultes, les BD...), il parle de sa vie, de son vécu, sous un trait humoristique. Son personnage lui ressemble d'ailleurs étrangement! Sur l'une des planches, nous sommes tombées sur des caricatures d'enseignants, représentés comme des monstres, tortionnaires, sadiques, qui voient les élèves comme des monstres qui n'ont qu'une idée: leur nuire. Quand je lui ai dit que j'étais instit, cela l'a un peu refroidit... Qu'a-t-il bien pu vivre avec ses enseignants pour avoir autant de ressenti?

    L'an passé, lors d'une discussion avec le psychologue scolaire, il me disait voir beaucoup d'enseignants détruire certains enfants. Mais comment? Par manque de bienveillance. Je lui répondais que j'avais plutôt l'impression que les enseignants étaient très soucieux de bien faire pour leurs élèves.

    D'où cela vient-il? Certains enseignants sont-ils si malveillants? Sont-ils simplement si épuisés qu'ils manquent de discernement? Sont-ils juste incapables de révéler le potentiel de leur élèves, ne sachant s'adapter à des enfants moins scolaires?

    Dans ma pratique, j'essaie d'avoir toujours à l'esprit cela. Mais je suis humaine, et parfois, il y a des enfants (peu nombreux) avec lesquels le feeling ne passe pas du tout. Est-ce ma faute? Est-ce inévitable? Et que faire quand on sait que cet enfant, on va l'avoir dans sa classe plusieurs années? Certes, on peut ne pas l'humilier. Certes, on le traitera à égalité avec les autres: mêmes règles, même attention... Mais c'est plus fort que nous, ce que l'on ressent. Difficile de le cacher.

    Et vous, que faites-vous, quand le feeling ne passe pas avec l'un de vos élèves?


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    Quelle ambiance !

     

    Cela faisait quelques années que ce n’était pas arrivé dans ma classe : problèmes de vol

    Le stylo quatre couleurs de C a disparu à la B.C.D. (alors que certains CM2 empruntaient leur livre pour la semaine et que d’autres saisissaient sur les ordis leur courrier pour une maitresse absente).

    + l’autre jour, un stylo gel « caché » dans le bureau d’une copine (super la blague, mais c’est drôlement sympa de faire accuser une élève de vol dites donc !)

    + deux stylos (b*c cristal noir et bleu, top la classe quoi) qui se sont enVOLés…

     

    De quoi changer le programme d’I.C.M. prévu en fin de journée L

    Après un inventaire des trousses, cartables etc, toujours pas ledit stylo !

    Menace de récrés écourtées, de sorties en stand by jusqu’à ce que le voleur se rende : rien.

     

    Que faire ? Que dire ?

     

    Continuer à faire uniquement des mini-récrés dans l’attente de posséder un détecteur de mensonges ?!

     

    Help les collègues, please.

     

     


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  • Tiens, ça faisait longtemps...

    Longtemps que l'on n'a pas posté, nous, les Super.
    Longtemps que tu n'as pas commenté, toi, lecteur.

    Alors il est temps de faire bouger un peu tout ça tout ça ^^

    Sur FB (oui, je suis une maitresse connectée, geek et fière de l'être... Oui LN, à l'inverse de toi, mouahahaha winktongue), je suis tombée sur cet article que j'ai trouvé fort intéressant.

    Quelle est la place des parents d'élèves dans l'école ? Faut-il ouvrir l'école ? L'ouvrir BEAUCOUP ? Faut-il se taire sous prétexte qu'il ne faut surtout pas froisser Bibou ? Faut-il être distant ? Le "Salut Machiiine, comment va ton Bibou aujourd'hui ? Oui t'inquiète, j'en prendrai soin !" doit-il être de mise ?

     

    Perso, je déteste que les parents me tutoient. Après, c'est surement parce que je ne suis jamais restée plus d'un an dans une école.

    Ensuite, je ne suis pas leur pote. Chacun sa place : ils sont parents, je suis enseignante (il parait ! happy ), je ne leur apprends pas leur métier, ils ne m'apprennent pas le mien...

    EDIT : Quand je me lis, je me dis que j'ai l'air revêche non ? happy J'aime avoir une bonne relation avec les parents, mais je ne veux surtout pas me laisser "envahir"...

     

    Bref, t'en penses quoi ?

    Et quand on a le rôle de parents ET d'enseignant ? Comment qu'on fait ??


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